

Les États-Unis veulent interdire le « français inclusif » sur Moodle : une ingérence qui fait débat
Washington, Paris le 1er Avril 2025 – La volonté du gouvernement américain d'interdire l’usage du français inclusif sur le Moodle francophone suscite un tollé dans la communauté éducative et au sein de la francophonie. Cette décision, perçue comme une ingérence dans la manière dont la langue française évolue et est enseignée, repose sur des arguments politiques et idéologiques controversés.
Une pression américaine sur Moodle
Moodle, la plateforme d’apprentissage en ligne largement utilisée par les établissements éducatifs du monde entier, repose sur un financement et une infrastructure en partie liés à des organismes américains. Selon plusieurs sources, l’administration américaine aurait exercé des pressions sur l’organisation pour bannir toute utilisation du français inclusif, notamment l’écriture épicène et l’usage du point médian (« étudiant·e·s »).
Le gouvernement américain justifie cette mesure par des « préoccupations liées à la clarté linguistique et à l’accessibilité », arguant que l’écriture inclusive complexifierait l’apprentissage et nuirait à l’intelligibilité des contenus. Toutefois, pour de nombreux observateurs, cette décision cache une volonté d’imposer une vision conservatrice de la langue et de limiter les avancées en matière d’égalité des genres dans l’éducation.
Un choc dans la communauté francophone
En France, au Québec et dans plusieurs pays francophones, cette annonce a provoqué de vives réactions. Pour l’Académie française, qui s’est toujours montrée réticente à l’égard de l’écriture inclusive, cette interdiction pourrait paradoxalement renforcer le débat autour de la modernisation de la langue. Du côté des défenseurs du français inclusif, cette décision est perçue comme une tentative d’entraver une évolution linguistique nécessaire pour mieux représenter les réalités sociales contemporaines.
« Voir une puissance étrangère dicter comment nous devons écrire notre propre langue est inacceptable », s’indigne Alice Bernard, professeure de linguistique à l’Université de Montréal. « Cette mesure est une atteinte à la souveraineté linguistique des pays francophones.»
Quelles conséquences pour Moodle et ses utilisateurs ?
Si la décision venait à être appliquée, Moodle pourrait être contraint de modifier ses paramètres linguistiques et d’interdire l’usage du français inclusif dans les interfaces et les ressources pédagogiques hébergées sur sa plateforme. Les établissements francophones utilisant Moodle devraient alors choisir entre se conformer à cette nouvelle règle ou migrer vers d’autres solutions.
Plusieurs universités et associations éducatives envisagent déjà d’explorer des alternatives à Moodle si cette restriction venait à être confirmée. « Nous ne pouvons pas accepter qu’une plateforme d’apprentissage, aussi essentielle soit-elle, nous impose des choix linguistiques dictés par un gouvernement étranger », explique Julien Lefèvre, directeur d’un institut de formation en ligne en France.
Vers une bataille juridique ?
Des associations pour la défense de la langue française et des droits linguistiques étudient la possibilité d’un recours juridique contre cette ingérence. Selon certains juristes, imposer une restriction linguistique sur une plateforme utilisée par des francophones pourrait constituer une atteinte à la liberté d’expression et à l’autonomie des systèmes éducatifs nationaux.
Alors que le débat fait rage, Moodle n’a pas encore officiellement commenté la situation. En attendant, cette controverse pourrait bien marquer un tournant dans la relation entre les outils numériques internationaux et les spécificités culturelles et linguistiques des différentes communautés qui les utilisent.
Texte entièrement rédigé par ChatGPT à partir ce ce "prompt":
Merci de rédiger un article de presse relatant la volonté du gouvernement américain d'interdire au Moodle francophone d'utiliser la langue "français inclusif". Pour copie conforme, signé "papi Jo".