Bien sur, si tu veux bénéficier des infras de l'établissement, il faut le feu vert du CE. Comme tu le dis toi-même, il faut donner de sa personne et disposer de certaines compétences pour pouvoir se lancer.
Il est indiscutable que des compétences minimales devraient être maitrisées par tous les collègues.
Les formations dispensées le sont forcément sur la base d'une adéquation avec les besoins globaux et non sur la base de besoins personnels spécifiques. Tout innovateur doit donc soit s'autoformer soit inclure dans son cahier des charges le respect de certaines contraintes.
Concernant les logiciels de vie scolaire, on est sur un autre champ : il faut forcément un consensus établissement.
Nextcloud est à l'étude comme de nombreux autres outils. Le webdav devrait arriver sur l'ENT. Il est déjà là dans de nombreux établissements (en fonction du département). Comme tu le sais, envisager un déploiement académique n'est pas anodin. Ceci engage l'académie. Il n'est pas question de couper un service du jour au lendemain, de perdre des données... Ainsi l'installation de Moodle est-elle faite pour être pérenne et indépendante de l'ENT tout en s'y intégrant. Ce n'est pas rien.
Etre innovant, ce n'est pas attendre que l'académie fasse pour nous. C'est justement le contraire. Il nous faut amener la preuve de l'intérêt de ce que nous faisons. Après, il est évident qu'une fois que l'on a validé une solution, on souhaiterait la voir déployée rapidement, mais il faut que ce besoin puisse être validé et à même d'être adopté par nombre de collègues.
Nombreux sont ceux (comme nous) qui ont leur propre moodle, leur propre nextcloud, leur propre LRS... C'est la rançon de l'innovation car nous souhaitons systématiquement expérimenter les dernières solutions (même si elles sont instables
), tester la dernière nouveauté et mettre tout ça à notre sauce, en être les maîtres... Nous ne trouverons jamais dans les solutions académiques ce qui nous satisfera. C'est comme ça.
@+
Il est indiscutable que des compétences minimales devraient être maitrisées par tous les collègues.
Les formations dispensées le sont forcément sur la base d'une adéquation avec les besoins globaux et non sur la base de besoins personnels spécifiques. Tout innovateur doit donc soit s'autoformer soit inclure dans son cahier des charges le respect de certaines contraintes.
Concernant les logiciels de vie scolaire, on est sur un autre champ : il faut forcément un consensus établissement.
Nextcloud est à l'étude comme de nombreux autres outils. Le webdav devrait arriver sur l'ENT. Il est déjà là dans de nombreux établissements (en fonction du département). Comme tu le sais, envisager un déploiement académique n'est pas anodin. Ceci engage l'académie. Il n'est pas question de couper un service du jour au lendemain, de perdre des données... Ainsi l'installation de Moodle est-elle faite pour être pérenne et indépendante de l'ENT tout en s'y intégrant. Ce n'est pas rien.
Etre innovant, ce n'est pas attendre que l'académie fasse pour nous. C'est justement le contraire. Il nous faut amener la preuve de l'intérêt de ce que nous faisons. Après, il est évident qu'une fois que l'on a validé une solution, on souhaiterait la voir déployée rapidement, mais il faut que ce besoin puisse être validé et à même d'être adopté par nombre de collègues.
Nombreux sont ceux (comme nous) qui ont leur propre moodle, leur propre nextcloud, leur propre LRS... C'est la rançon de l'innovation car nous souhaitons systématiquement expérimenter les dernières solutions (même si elles sont instables
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